Dr Alexandre
Strasny
_______________ Manuel
familial des médecines alternatives
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Un
esprit sain dans un corps sain
Table des matières Comment se crée la
maladie Devenir son propre naturopathe:
Régime diététique
La
purification La
phitothérapie La physiothérapie
L’acupressure La bioénergie
Le yoga Se
tourner vers un spécialiste Diagnostics
La thérapie
alternative: L’acuponcture
Massages Chiropratique
L’homéopathie L'hypnose
La
psychothérapie Training
autogène La bioénergie
Musicothérapie Drôles
d’histoires
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Pouvons-nous croire aux diagnostics
parallèles ?
Le
médecin qui a de faibles conaissances questionne, regarde, palpe et sent le
malade.
L’iridologie Dans la médecine
conventionnelle, le diagnostic correspond à l’action de déterminer une
maladie. Dans une policlinique, on vous examine, on vous questionne, on vous
palpe, on vous écoute au moyen d’un stéthoscope, on vous prend la tension,
on vérifie les réflexes de votre genou. En fonction de l’endroit “ où
vous avez mal ”, on vous fait passer un ECG, une radiographie, une
échographie,
si nécessaire on vous envoie chez un ophtalmologiste, un gynécologue, un
orthopédiste ou autre médecin spécialiste, en plus de vous prescrire à titre
de diagnostic une incision de la paroi abdominale, un examen à résonance
magnétique,
etc. En résultat de ces examens, le médecin prononce un diagnostic concret :
insuffisance cardiaque, ulcère de l’estomac, inflammation chronique du pancréas
et autres. Et nous avons beau médire sur la science médicale, dans la grande
majorité des cas les diagnostics sont valables. L’iridologie : ce diagnostic détermine à partir de l’iris de l’œil les symptômes nuisibles à la santé. À côté de
cela, naturellement le praticien examine et questionne le malade. Celui qui en a
les compétences peut effectuer en plus un examen chinois du pouls, un
diagnostic par hypnose, un test cinétique, un examen olfactif et autres. ne pas porter préjudice au patient en négligeant quelque chose qui exigerait une intervention chirurgicale urgente ou un traitement par voie de médicament ; ne pas parler de “ trois points thermiques ”, mais de communiquer avec le patient en des termes clairs et compréhensibles. En médecine naturelle, l’essentiel du diagnostic est de constater ce qui n’est plus sain, sans que cela ne se présente sous la forme d’une maladie. Le problème réside
dans le fait que les hommes ont une connaissance limitée de la science
médicale.
Au tournant des deuxième et troisième millénaires – malgré les efforts
immenses et des résultats fantastiques – celle-ci n’est capable de fournir
à un médecin pratiquant que très peu de conseils utiles, par exemple sur les
dégâts que provoquent le pollen sur le système immunitaire (à l’origine de
l’asthme allergique), le streptocoque sur le cœur, les différents problèmes
articulaires, etc. La science médicale doit à l’avenir aussi trouver une réponse
à nombre de questions jusqu’ici non résolues. En médecine naturelle, ce
n’est pas tant la détermination des raisons de la maladie qui est
importante (car c’est souvent impossible), mais plutôt la constatation des
capacités d’autorégulation du malade et ses capacités d’auto-guérison.
La société basée à Budapest du fabricant
de téléphones mobiles “ Ericsson ” a contacté notre clinique
pour que nous examinions leurs employés dans un but de prévention de la
maladie. Dans l’équipe de médecins spécialistes se trouvait un iridologue.
Lorsque son tour est venu de se présenter pour l’examen, l’un des
directeurs de la société a annoncé qu’étant donné ses occupations, il ne
pouvait accorder une heure et demie dans ce but. En plus de quoi, il n’avait
jamais été malade et se sentait en pleine forme. Il s’est finalement laissé
convaincre. Au moment de se présenter pour le diagnostic à partir de l’iris,
le directeur sceptique a déclaré que : premièrement il était bien
portant, deuxièmement il considérait complètement idiot que de “ vouloir
regarder dans ses yeux ”, et troisièmement il demandait à être libéré
au plus vite. Comment un diagnostic est-il préparé “ sur la base de l’œil ” ? L’iris est
la partie la plus sensible du corps humain. C’est pourquoi les facteurs
héréditaires,
l’altération des organes internes, les produits toxiques, les situations de
stress y laissent différentes marques et empreintes. Après examen de ces
marques à l’aide d’un instrument particulier, le stéréomicroscope, le spécialiste
est capable de statuer sur l’état de l’organisme. Comment choisir un iridologue ?
Heureux-malheureux qui s’occupe d’iridologie. Un bon spécialiste en
revanche ne peut être que médecin, en plus de cela pas exclusivement
ophtalmologue : plus il présente un large profil, mieux c’est.
Naturellement, il doit avoir suivi une formation médicale spécialisée. Que peut constater l’iridologie ? Les maladies
de la colonne, de l’estomac, du cœur, des ovaires et de la prostate sont
clairement détectables, mais le diabète, l’asthme et les rhumatismes le sont
beaucoup moins. Le plus important (car c’est l’une des premières questions
posées) reste qu’avec un tel examen, on ne peut conclure la présence ou
l’absence de tumeurs malignes. Que peut-on découvrir en se regardant dans le miroir ? Pas grand chose. Mais tout de même. Si vous prenez la peine de regarder votre œil à travers une loupe devant un miroir, vous pourrez savoir ce qui suit :Si votre œil est de couleur claire, cela signifie que vous ne vous protégez pas suffisamment contre les rayons du soleil. Ceci peut être la raison de votre état nerveux intense : irritabilité, insomnie, fatigue. Il est préférable de vous habituer à porter des lunettes de soleil si les rayons sont forts. Si votre œil est de couleur sombre, contrairement au cas précédent, c’est que votre cerveau reçoit peu de lumière et d’énergie solaire. Vous pouvez ressentir ces effets au moment où les journées sont courtes, l’automne et l’hiver. Cela peut provoquer une sensation de fatigue, de dépression et ralentir le métabolisme. Pendant les mois de novembre pluvieux et de janvier sans neige, vous feriez mieux de prendre des racines de ginseng ou autres stimulants naturels. Si votre œil se compose de plusieurs couleurs, il est sans doute probable que la couleur des yeux de vos parents ou autres proches n’est pas uniforme. Dans ce cas, vous avez hérité des différents gènes de votre mère et votre père. Si votre iris est très dense, vous avez de la chance car c’est le signe de propriétés génétiques excellentes, d’une résistance accrue, d’une forte immunité. Après une maladie ou une intervention chirurgicale, vous avez de fortes chances pour vous rétablir complètement et rapidement. Il est très probable que vous viviez jusque 80-85, voire 90 ans. Si votre iris n’est pas très dense, vous avez moins de chance. Vos propriétés génétiques sont relativement bonnes, votre résistance varie selon les cas, votre immunité est habituellement fiable. En revanche, dans le cas de problèmes psychiques et physiques plus graves, cela peut provoquer sur votre personne débordements nerveux, irritabilité profonde, maux de tête, douleurs cardiaques, spasmes dans un des organes et dépression. Après une opération, vous aurez besoin d’une aide médicale pour vous rétablir. Dans la mesure où vous menez toutefois un train de vie équilibré, si vous “ ne dénigrez pas votre santé ”, vous pouvez vivre jusqu’à 75-80 ans. Si votre iris présente une texture lâche, que les fibres sont tailladées et piquées de multiples trous, cela signifie que vous avez beaucoup moins de chance que ceux dont l’iris est dense. Ceci est le signe d’une immunité faible et d’une moins bonne résistance. Le moindre effort et la moindre action du stress provoquent une réaction nerveuse, des maladies psychosomatiques. Ceci étant, vous avez toutes les chances d’atteindre les 70-75 ans. Si vous constatez sur votre iris des cercles ou des demi-cercles, c’est que vous êtes une personne sensible, qui cache en elle des émotions négatives, des douleurs, des tensions. À vrai dire, avec cette constante tension psychique, vous nuisez à votre système nerveux et circulatoire et êtes sujet à différents spasmes. Si le bord de votre iris présente, en général au niveau de la partie supérieure, un contour blanc, cela prouve assurément que vous souffrez d’artériosclérose. Si vous constatez sur votre iris des taches ou autres signes ne correspondant aucunement au dessin de base, reportez-vous aux illustrations ci-dessus, sur lesquelles figure la représentation des organes internes dans l’iris, et essayez de déterminez “ dans quel organe ” se trouvent ces taches. Il n’est pas à exclure qu’“ il y ait un petit problème ” dans cet organe précis. Vous pouvez confirmer vos suppositions grâce à la réflexologie.
La réflexologie ne mesure pas les réflexes, mais
le flux de bioénergie progressant entre les méridiens. Cette méthode
– tout comme les autres procédures alternatives – ne permet pas d’obtenir
un diagnostic. Mais grâce à elle, il est possible de supposer quelle
partie du corps présente un dysfonctionnement. Dans le chapitre “ Acupressure ”,
vous avez pu voir le dessin du pavillon de l’oreille. Ceci étant,
j’aimerais vous le remettre en mémoire, car avec celui-ci, en plus de
pratiquer l’acupressure, vous pouvez également prononcer un diagnostic. Le principe est le même pour le diagnostic plantaire, la plante du pied présentant également des zones correspondant à chaque organe. Si l’un de ces points vous fait mal, cela témoigne d’un problème à l’organe y étant relié. Pouvons-nous croire en ces diagnostics ? Comme pour les autres méthodes alternatives, pas vraiment. Les informations recueillies sur la base de ces méthodes ne sont fiables qu’à moitié. La réponse serait donc oui et non. De même, le torse aussi dispose de tels points. Contrairement aux oreilles et aux pieds, ces points sont reliés aux méridiens énergétiques. Toutefois, vous seul ne pouvez diagnostiquer sur la base des points du torse. D’une part, sans expérience – même si je vous en fournissais une description détaillée – il est difficile de les localiser, d’autre part ce n’est pas au patient mais au spécialiste de connaître l’état de ces points afin de déterminer quel méridien doit être activé au moyen d’aiguilles et quel autre doit être déchargé. De nos jours, on emploie un peu partout en Europe le diagnostic de l’électro-acuponcture (ou organométrie), dont le Dr R. Voll est à l’origine, basé sur l’association de la réflexologie et l’homéopathie. Le praticien ne se contente pas de constater, à l’aide d’instruments, les variations énergétiques de chacun des sous-ensembles du corps, il décide également quel médicament est adapté – non pas pour la maladie, mais pour le patient. De plus, il n’est pas nécessaire pendant l’examen d’ingérer ce médicament, il suffit de tenir dans sa main la capsule de verre réchauffée. Pouvons-nous croire en cette méthode de Voll ? Certainement pas plus que dans toutes les autres. Ceci étant, elle est efficace non seulement à cause du médicament, mais aussi à cause des suggestions. L’important est que durant l’essai des médicaments, le patient puisse vérifier si l’aiguille de l’appareil bouge ou non. Qu’il voie si son organisme réagit ou non aux diverses préparations. Le fait qu’il reçoive un médicament précis ayant provoqué une réaction des aiguilles de l’appareil l’assure de l’efficacité du médicament et ainsi mobilise de manière extraordinaire les processus d’autorégulation. Toutefois, cette méthode ne fonctionne bien que si elle est pratiquée par une personne compétente. Le résultat dépend en grande partie de la personne du médecin, de la manière dont il interprète les résultats obtenus et de sa rigueur. L’examen demande au moins une heure, même si nombre de “ praticiens ” cèdent à la tentation de la concentrer en 15 minutes sous prétexte “ de ne pas faire attendre les autres patients ”. Afin de déterminer les caractéristiques d’un câble d’alimentation, l’électricien n’a pas besoin d’en retirer l’étui de protection. Il lui suffit d’employer un appareil fonctionnant à partir du champ électromagnétique entourant le câble. Les êtres vivants sont également entourés d’un faible champ électromagnétique que l’on appelle aura. En percevant les anomalies de l’aura, le bioénergéticien en déduit des conséquences relatives à une rupture de l’harmonie interne du corps.
Comment se déroule un examen énergétique ? Il existe différents
modes de diagnostic énergétique. Certains perçoivent mieux les faibles
signaux avec leurs mains, d’autres ont besoin d’un cadre métallique,
d’autres encore se contentent d’un coup d’œil sur le patient. Je pratique
moi-même la thérapie bioénergétique depuis 12 ans. Ceci étant, je n’ai
pas appris à diagnostiquer tout de suite. Ce n’est pas une chose facile, car
cela nécessite d’“ attraper ” des sensations que tout individu
ne peut en général percevoir. Que ressentez-vous pendant un tel examen ? À
vrai dire, rien. Une partie des bioénergéticiens ont pour habitude
d’effectuer cet examen en tenant dans leurs mains un cadre métallique. À
quoi sert ce cadre ? À faciliter l’examen. Tandis que vous observez la
manière dont le bioénergéticien approche le cadre métallique par-dessus ou
derrière vous, vous ne pouvez entendre quelles questions celui-ci pose dans sa
tête, et quelle réponse affirmative ou négative lui renvoie le cadre. “ Y
a-t-il des problèmes de foie ? ”, à cette question le cadre tourne,
“ Oui ”. “ Une inflammation ? ”, le cadre ne
bouge pas, donc non. “ Est-ce que je peux aider cette personne ? ”,
le cadre tourne, donc oui. Si le cadre de bouge pas, un bioénergéticien de bon
sens envoie le patient consulter un autre naturopathe. En revanche, le spécialiste
qui se comporte sans aucune éthique ne dit rien et “ essaie ”
quand même de poursuivre les soins. Dans quelle mesure le diagnostic de l’énergie est-il crédible ? À
notre grand regret, dans la majorité des cas, absolument pas. Chaque bioénergéticien
emploie des perceptions différentes et les interprète à sa manière propre.
Dans l’ensemble, les conclusions diagnostiques des bioénergéticiens peuvent
et doivent être prises en compte avec attention, sans pour autant les considérer
de manière trop sérieuse. L’histoire suivante le prouve. |
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Table
des matières Comment se crée
la maladie Devenir son propre
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La phitothérapie La
physiothérapie L’acupressure
La bioénergie Le
yoga Se tourner vers un spécialiste
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Le texte figure ici à titre promotionnel.
Il ne saurait faire l’objet (même
en partie) de copie ou de publication sans l’autorisation expresse de
l’auteur.
Dans le cas où vous souhaiteriez émettre un quelconque avis
(suggestions, remarques, etc.), veuillez l’envoyer à l’adresse
suivante de l’auteur:
Alexandre Strasny :
alestra69gmail.com
Je
vous prie de m’excusez de ne pas pouvoir donner de consultation via
Internet.
Je pense que vous trouverez la majorité des réponses à vos
questions dans ce livre : consultez-le bien attentivement.
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